Plusieurs activités s’exercent aujourd’hui en toute liberté et permettent aux travailleurs d’être indépendants. Ces emplois sont connus sous le nom de professions libérales et peuvent être réglementés ou non. Dans le cadre d’une retraite professions libérales, il est capital de bien se préparer afin de s’assurer une belle vie à la fin de sa carrière. Comment alors préparer votre départ à la retraite si vous exercez en profession libérale ? Découvrez tout à ce propos ici.
Adopter une stratégie de diversification pour l’épargne
Cette stratégie consiste à privilégier plusieurs supports d’investissements plutôt que d’opter pour un seul. En bon investisseur, vous devez chercher à réduire tout risque, afin de maximiser vos chances de générer des bénéfices. Ainsi, vous êtes rassuré (e) quant à la pertinence de votre démarche et à la sécurité de vos investissements dans le temps.
La retraite professions libérales exige, un certain nombre d’actions qui doivent être menées progressivement, dès le début de votre carrière. Il est conseillé de ne pas attendre plusieurs années ou attendre que ses chiffres d’affaires (CA) augmentent avant de se mettre à épargner. Perlib.fr est de professionnel auquel vous pouvez recourir à cet effet.
Ces experts vous aident à optimiser au mieux votre épargne en vous prodiguant des conseils et en vous proposant un accompagnement personnalisé et sur mesure selon vos perspectives. Ils se distinguent par une totale maitrise des régimes fiscaux auxquels sont soumises les professions libérales.
Connaitre les régimes des professions libérales
La retraite professions libérales se matérialise par deux régimes officiels. Le premier est la retraite de base, couverte par la caisse nationale d’assurance vieillesse des professions libérales encore appelée CNAVPL.
Le deuxième quant à lui est la caisse spécifique à chaque type de métier. Ainsi, on parle de CARSAF, CARMF et CNBF respectivement pour les sages-femmes, médecins et avocats qui par ailleurs sont des professions réglementées. Il faut noter qu’il s’agit ici d’un régime de retraite complémentaire obligatoire. Pour les métiers non réglementés, la caisse spécifique qui s’en occupe est la CIPAV. Elle est aussi dédiée à la retraite professions libérales complémentaire obligatoire.
Souscrire à une assurance
Si vous optez pour une profession libérale, il est fortement recommandé que vous souscriviez de façon régulière à une assurance vie ou un contrat Madelin. Cela doit être fait tout au long de votre carrière de manière proportionnelle à vos revenus (plus de détails sur magazine-assurance).
Maitriser la fiscalité des professions libérales
Il est très important de comprendre la fiscalité applicable aux professions libérales car, la quasi-totalité des professions libres sont classées dans une catégorie. Il s’agit de la catégorie des « bénéfices non commerciaux » ou BNC. Pour une retraite professions libérales, ce quota permet de calculer l’imposition sur le revenu.
Ce qu’est le BNC ?
Le BNC est principalement porté vers les professions libérales et permet d’établir un plan de retraite. En effet, il concerne essentiellement deux types de bénéfices :
· Les BNC professionnels, correspondant aux marges des bénéfices réalisés en profession libre ;
· Les BNC non professionnels couvrant les bénéfices provenant d’activités que l’administration fiscale ne pourrait rattacher à des droits d’auteurs.
Le BNC dans la pratique
Les entreprises soumises au BNC ont droit à un abattement forfaitaire. Ce forfait s’élevant à 34%, s’applique au CA annuel, facilitant ainsi l’épargne pour la retraite professions libérales.
Avec cet avantage donc, si une entreprise opte pour un prélèvement libératoire, son taux d’imposition sur revenu revient à 2.20 % de son chiffre d’affaires. Rappelons que ce taux est prélevé trimestriellement ou par mois selon l’option choisie par l’entreprise dès son entrée en activité. Voulez-vous en savoir plus sur le BNC pour les professions libérales ? Visitez cette page.